Nous arrivons à quelques heures du confinement partiel ou général. Le Coronavirus aura finalement raison de notre liberté de circulation. La fête est finie, les promenades au parc aussi. On ne peut être que stupéfait devant le comportement déraisonnable de ces centaines de Parisiennes et de Parisiens allongés dans l’herbe ou sur les bords de Seine… comme si de rien n’était.
Le Français dans toute sa splendeur : inconscient et égoïste. Si nos voisins Européens nous regardent hagards, il va s’en dire que le message envoyé par nos dirigeants nous incitant à aller voter par pareilles circonstances, n’était pas des plus malins.
Nous sommes engagés dans une course folle et mortifère. Il y aura des dizaines de commerces fermés, des centaines de malades entubés, des milliers de personnes contaminées. Rester chez soi, c’est sauver des vies. Alors préférons, nous comporter en héros, et prendre notre mal en patience. Dans un monde où tout va trop vite, il est désormais l’occasion de se reconnecter à nous-même et de mener à bien, ces projets personnels depuis toujours reportés… faute de temps.