Scène de désastre, de chaos… de complète désolation. Hier, les Champs-Élysées auraient pu – au lendemain des tristement et habituelles manifestations des Gilets Jaunes – être rebaptisés : les Champs de ruines. L’acte XVIII va t-il enfin sonner le coup d’arrêt à toutes ces violences ?
Macron au ski, Castaner en boite de nuit… Et pendant ce temps-là, des dizaines de magasins vandalisés, des agences bancaires et un appartement incendiés. Le président a fait part de son énervement et promet une réponse forte. Seulement maintenant ?!
Si l’opposition souligne – dans un pur esprit de politique politicienne abjecte et malvenue – que ce gouvernement est « trop laxiste », rappelons que ces mêmes prônaient encore l’interdiction du LBD il y a quelques semaines.
À en voir les scènes de guérilla urbaine de samedi, heureusement que nos forces de l’ordre ne s’étaient pas défendues avec des pistolets en plastique ! À toujours vouloir se placer du côté des victimes, on en oublie les véritables : les riverains et commerçants.
À ce stade, il ne faut plus de simples interdictions : mais des interpellations et des dissolutions ! Sans aller jusqu’à en appeler à l’armée, tout individu encagoulé doit dorénavant être chargé, interpellé, jugé et sévèrement condamné… sur le champ, (les Champs et partout ailleurs).